22 août 2016

Arles 2016 : William Kentridge

Avec Wiliam Kentridge - ma grande découverte de l'été - on quitte le domaine de la photo proprement dit pour celui de ....d'une oeuvre aussi étonnante qu'indéfinissable.

Il faut imaginer une grande salle noire, quelques chaises et une succession de panneaux sur lesquels défilent en continue des personnages que la lumière transforme parfois en ombres chinoises. On reconnaît une fanfare, des porteurs de cercueils, on pense à une procession funéraire mais plutôt façon Nouvel Orléans, ou alors une danse macabre comme on en peignait autrefois sur les murs des églises. On pense aux lanternes magiques que l'on faisait tourner pour créer l'illusion du mouvement. On pense ...
C'est théâtral, c'est drôle, c'est absolument magique !






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