10 janvier 2017

Mexique (1900 - 1950)

Etrangement, il n'y avait presque personne à l'entrée du Grand Palais pour l'exposition sur la peinture mexicaine. Tant mieux pour moi parce que les tableaux du coup étaient facilement accessibles. Pas besoin de se hausser sur la pointe des pieds pour regarder par dessus l'épaule de ceux qui me précèdent. 
Pas beaucoup de monde dans les salles et pourtant des artistes connus sur les cimaises : Clemente Orozco, Diego Rivera, Frida Kahlo, Rufino Tamayo ...


Clemente Orozco, Les Femmes des soldats


Diego Rivera, La Vendeuse de pinole


 Diego Rivera, La Vendeuse d'arums

A côté des artistes dont les noms nous sont familiers il y avait tous les autres, les moins connus mais pas les moins intéressants, qui permettent de comprendre comment l'art mexicain s'est peu à peu dégagé de ses influences européennes pour trouver son identité propre.


Roberto Montenegro, Portrait d'un antiquaire ou Portrait de Chucho Reyes et autoportrait

Petit lamento : les cartels sont parfois placés si bas, qu'il est nécessaire, de se plier, de s'agenouiller ou de s'accroupir pour les lire !  Comme cela n'est pas propre à cette exposition, mais de plus en plus commun je suppose qu'il s'agit de prendre en compte les "personnes à mobilité réduite", i.e. les handicapés en fauteuil.Tant mieux !   Mais à condition de trouver un compromis qui satisfasse les uns et les autres. Des caractères un peu plus grands  par exemple pour permettre de lire de loin, sans mettre le nez sur le cartel ! 

Aucun commentaire: